Je n'arrivais pas à dormir.
J'avais besoin d'un bout de peau, d'un reste de souffle, d'une étreinte trop légère, d'une lèvre humide, ou même d'un baisé raté.
Je ne savais plus dormir.
Il me fallait sa voix au fond des tripes, sa main qui m'arrache la peau, ou même ses yeux qui me transperce l'estomac.
Je ne pouvais plus dormir.
Et son ombre qui, doucement, me quittait. Il avait prit possession de tout mon être et je ne faisais que mourir. Il le faisait exprès, il en jouait. Je n'étais plus qu'un pantin froissé entre ses mains. Il tirait sur le cordes au hasard et elles, me transperçaient la peau. Des goutes de sang m'effleuraient la joue. Je saignais, de partout. Et il continuait, il me faisait danser dans tous les sens, sans s'apercevoir que je n'avais plus de force. Je tombais. Il me faisait croire que la vie existe au fond de lui, mais il était tout aussi mort que moi. Il souriait, c'était un jeu, à qui sera le plus heureux.
Mais quelques fois dans ses yeux on voit le monde entier, et ça, je suis la seule à pouvoir le voir. Il ne le sait pas mais sans lui la vie n'existe plus. Plus rien n'a de sens. Je ne sais pas à quel moment il faut sourire, ni parler. Je reste là immobile, et je l'attend...
J'avais besoin d'un bout de peau, d'un reste de souffle, d'une étreinte trop légère, d'une lèvre humide, ou même d'un baisé raté.
Je ne savais plus dormir.
Il me fallait sa voix au fond des tripes, sa main qui m'arrache la peau, ou même ses yeux qui me transperce l'estomac.
Je ne pouvais plus dormir.
Et son ombre qui, doucement, me quittait. Il avait prit possession de tout mon être et je ne faisais que mourir. Il le faisait exprès, il en jouait. Je n'étais plus qu'un pantin froissé entre ses mains. Il tirait sur le cordes au hasard et elles, me transperçaient la peau. Des goutes de sang m'effleuraient la joue. Je saignais, de partout. Et il continuait, il me faisait danser dans tous les sens, sans s'apercevoir que je n'avais plus de force. Je tombais. Il me faisait croire que la vie existe au fond de lui, mais il était tout aussi mort que moi. Il souriait, c'était un jeu, à qui sera le plus heureux.
Mais quelques fois dans ses yeux on voit le monde entier, et ça, je suis la seule à pouvoir le voir. Il ne le sait pas mais sans lui la vie n'existe plus. Plus rien n'a de sens. Je ne sais pas à quel moment il faut sourire, ni parler. Je reste là immobile, et je l'attend...